Sandrine Auxire
Qui suis-je ?
Les mécanismes du bien-être physique et moral m’intéressent depuis longtemps, c’est ce qui m’a guidée vers l’industrie cosmétique dans ma première vie professionnelle.
La dimension managériale de ma fonction m’a permis alors de travailler autour du développement personnel de mes équipes, à travers diverses formations que je programmais.
Accompagner mes collaborateurs dans la gestion de leur stress, de leur réussite professionnelle et l’épanouissement de leurs ressources profondes m’a permis de me poser des questions de vie et de sens, pour autrui… et pour moi.
Est-ce la quarantaine ?
J’ai réfléchi à ce dont j’avais vraiment envie. Et ce n’était pas le côté superficiel de l’industrie cosmétique ni le formatage imposé auquel je n’ai jamais réussi à me conformer.
Humainement, l’aventure était passionnante, mais je subissais trop la pression des chiffres et des impératifs de rentabilité… J’ai décidé de quitter le secteur.
Ce dont j’avais envie, c’était d’aider les gens à aller chercher les ressources en eux-mêmes, à mobiliser de nouveaux savoir-faire pour atteindre le meilleur état possible de bien-être physique, mental et émotionnel.
J’ai donc commencé à me former en kinésiologie. Je dis « commencé » car c’est une démarche continue, durable : je me forme régulièrement pour nourrir et approfondir ma pratique.
Certifiée au sein de l’école Eki-vie
www.eki-vie.com
Formatrice sur plusieurs modules de kinésiologie au sein de l’école
Proficiency TFH® avec Matthew Thie, Juliette Marret et l’Ecap de Nantes
Instructeur TFH® certifiée IKC (International Kinesiology College) par Matthew Thie
Ce que la kinésiologie m’a apporté personnellement
En un mot, la kinésiologie m’a apporté la congruence : l’adéquation entre ce pour quoi je suis faite et ce que je fais, entre ce dont je suis porteuse et ce que j’exprime, une cohérence entre ce que je montre de moi, mon attitude, mes mots, mon comportement, mes pensées.
J’ai compris que cette congruence était la garantie de mon bien-être et de ma santé.
De prise de conscience en prise de conscience, j’ai remis à jour mon propre regard sur moi et je suis sortie de certains mécanismes de défense. J’ai objectivé certaines émotions, vous savez, les émotions toxiques qui surgissent quand on ne s’est pas respecté, quand on s’est laissé abuser, piétiner, quand votre intégrité est remise en cause…
Donc, sans être résignée, j’ai commencé à comprendre que chacun avait ses propres réactions en fonction de ses propres blessures.
S’il m’arrive encore de me sentir blessée par une personne, grâce à la kinésiologie je peux aller voir ce qu’il y a dans mon histoire qui est en résonnance, et faire la part des choses entre ce qui m’appartient et ce qui ne m’appartient pas. Chemin faisant, je prends les bonnes directions.
Tout ce qui nous irrite chez les autres nous conduit à une meilleure connaissance de nous-mêmes.